FRANCE CULTURE (20 avril 2009) Emission « La fabrique de l’histoire », Michel Vaujour, série « Une semaine à fleury-Mérogis »
Michel VAUJOUR, ancien braqueur, aujourd’hui scénariste, dans le documentaire « Ne me libérez pas je m’en charge », de Fabienne Godet, revient sur son parcours.
FRANCE CULTURE (21/04/2009) Michel Foucault et les historiens dans l’impensable de la prison, Emission LA FABRIQUE DE L’HISTOIRE
FRANCE CULTURE (21 avril 2009) Emission « La fabrique de l’histoire », les prisons pour enfants, série « Une semaine à fleury-Mérogis »
FRANCE CULTURE (22 avril 2009) Emission « La fabrique de l’histoire », Episode « Ras les murs », série « Une semaine à fleury-Mérogis »
Extraits et dialogue avec Jacques et Nicole Lesage de La Haye autour de « Ras les murs », émission emblématique de Radio Libertaire sur le monde carcéral, créée il y a très exactement 20 ans.
FRANCE CULTURE (22&23 avril 2009) Emission « Sur les docks », Une semaine à fleury-Mérogis
» Nous avons pu exceptionnellement procéder, dans une volonté affichée de transparence, à une série d’enregistrements pendant une semaine. Ces reportages relaieront la parole des détenus et des membres de l’Administration pénitentiaire (surveillants et travailleurs sociaux), sur les trois sites bien distincts que comprend sur un terrain de cent quatre-vingt hectares à douze kilomètres d’Evry (Essonne) cette prison, mastodonte pénitentiaire. Nous les commenterons en direct du local de l’atelier radio situé dans l’aile rénovée de Fleury-Merogis (la tripale D2 inaugurée par Rachida Dati le 27 octobre 2008) avec pour chacune des émissions un invité en direct associé à la vie de cet établissement. Puis, nous passerons le relais à « Du grain à moudre » ».
FRANCE CULTURE (25 avril 2009) Emission « Le magazine de la rédaction », Récit de la prise d’otage du psychologue de Fleury-mérogis (en 2008)
«Un lundi banal, commence Vivien Lhermitte. Une succession d’entretiens et, à 11 heures, Florent Bianchi.» Spécialiste de l’opéra – il coache des ténors -, Vivien Lhermitte anime à Fleury un atelier de musicothérapie. «Ce jour-là, j’ai eu l’impression que Florent Bianchi n’était pas vraiment présent. Il m’avait habitué à mieux. Malgré sa carapace de «dur», il savait exprimer de très belles émotions avec la musique.» 11 heures 30, l’atelier se termine. Le psy et le détenu sortent du bureau. Brusquement, Bianchi se retourne. «Il m’a dit: je peux pas rentrer en cellule, je vais péter les plombs. Il m’a saisi à la gorge: je vous prends en otage.»
0 commentaire